Difference between revisions of "Claude de Coulon"

Line 3: Line 3:
 
== Filmmusik-Werke ==
 
== Filmmusik-Werke ==
  
Sa contribution pour le cinéma, dans le domaine du film de commande, est apparue récemment grâce aux travaux de la Filmographie neuchâteloise : après ''La féérie des automates'' (Victor Borel, 1946), il collabore régulièrement dès les années cinquante avec le cinéaste et producteur Jean-Pierre Guéra ; sa filmographie compte aussi ''Les hommes de la montre'' (Henry Brandt, 1963), ''Poésie du rail / Zauber der Schiene'' (Charles-Georges Duvanel, 1965, pour les CFF) et ''[[Follow Me]]'' (1967, pour la Swissair). (bs, rc)
+
Sa contribution pour le cinéma, dans le domaine du film de commande, est apparue récemment grâce aux travaux de la Filmographie neuchâteloise : après ''La féérie des automates'' (Victor Borel, 1946), il collabore régulièrement dès les années cinquante avec le cinéaste et producteur Jean-Pierre Guéra ; sa filmographie compte aussi ''Les hommes de la montre'' (Henry Brandt, 1963), ''Poésie du rail / Zauber der Schiene'' (Charles-Georges Duvanel, 1965, pour les CFF) et ''[[Follow me]]'' (1967, pour la Swissair). (bs, rc)
  
 
[[Category: Composers]]
 
[[Category: Composers]]

Revision as of 17:53, 18 January 2017

Claude de Coulon (29 octobre 1917 Lausanne – mai 2001 Clarens VD), tromboniste, co-fondateur en 1930 des New Hot Players (Neuchâtel), l’un des premiers groupes suisses pratiquant un jazz authentique, il joue ensuite dans plusieurs grands ensembles (Fred Böhler, Bob Huber, Original Teddies) et les swingbands de Bob Wagner et Paul Joy. De 1948 à 1950, il est titulaire à l’Orchestra Radiosa de Lugano, puis à l’Orchestre de la Suisse romande sous la direction d’Ernest Ansermet. Dans les années 1960, il travaille comme régisseur musical au studio de Radio-Genève et dirige avec l’ingénieur Pierre Walder la formation pour l’acoustique musicale et la régie sonore au Conservatoire de Genève.

Filmmusik-Werke

Sa contribution pour le cinéma, dans le domaine du film de commande, est apparue récemment grâce aux travaux de la Filmographie neuchâteloise : après La féérie des automates (Victor Borel, 1946), il collabore régulièrement dès les années cinquante avec le cinéaste et producteur Jean-Pierre Guéra ; sa filmographie compte aussi Les hommes de la montre (Henry Brandt, 1963), Poésie du rail / Zauber der Schiene (Charles-Georges Duvanel, 1965, pour les CFF) et Follow me (1967, pour la Swissair). (bs, rc)