Difference between revisions of "Verso"
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| − | *Réalisation : Xavier Ruiz, Nicholas Cuthbert. Production : Tarantula Films Genève | + | |
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| − | *Montage sonore : Ingo Dumlich | + | *Réalisation : Xavier Ruiz, Nicholas Cuthbert. |
| − | *Conception sonore : Edgar Vidal | + | *Production : Tarantula Films Genève. |
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== Littérature == | == Littérature == | ||
| − | *''Swiss Film Music. Anthology 1923–2012'', p. 294. | + | *''Swiss Film Music. Anthology 1923–2012'', p. 294. ISBN 978-3-03401-265-2 |
== Liens externes == | == Liens externes == | ||
*[http://www.swissfilms.ch/de/film_search/filmdetails/-/id_film/2146533106/ ''Verso'' sur swissfilms.ch] | *[http://www.swissfilms.ch/de/film_search/filmdetails/-/id_film/2146533106/ ''Verso'' sur swissfilms.ch] | ||
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| − | *Film et musique: DVD EAN 7613059303157 | + | *Film et musique: DVD EAN 7613059303157. |
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Latest revision as of 02:05, 26 January 2018
Verso (CH 2009) est un long-métrage de fiction avec la musique de Tom Bimmermann et Vincent Gillioz.
Credits
- Réalisation : Xavier Ruiz, Nicholas Cuthbert.
- Production : Tarantula Films Genève.
- Son : Gustavo Andriewiski.
- Montage sonore : Ingo Dumlich.
- Conception sonore : Edgar Vidal.
Résumé
Le film nous montre une face insolite de Genève en nous transportant dans le monde de la pègre locale, du trafic de drogue et de la prostitution à travers la vie privée dysfonctionnelle d'un inspecteur de police. Absorbé par son travail, un jeune homme entretient des relations difficiles avec son ex-femme et sa fille. Alors que son ancien ami d’enfance sort de prison, il est rattrapé par son passé. Ayant témoigné contre lui, il craint sa vengeance.
Extrait musical
(1:53 à partir de min. 94)
Scène finale, situation après la mort du protagoniste.
Commentaire
« La musique dans ce film ne suit pas l’approche très répandue des leitmotifs wagnériens, mais plutôt celle du style impressionniste. Le rôle principal de la bande originale est de ‹peindre› le film d’une atmosphère singulière. De la même façon que si on regardait le film à travers un filtre coloré. Pour atteindre ce but, nous avons opté pour la musique électronique. Ce type de musique permet de créer des sons et de les transformer à volonté ; de cette façon j’ai pu créer une palette de sons originaux. Quand on travaille avec des sons électroniques, la difficulté est de créer des sons qui s’associent bien les uns avec les autres.
Dans cette pièce on peut entendre un autre facteur unique propre à la musique électronique, la possibilité de bouger les sons dans le panorama pendant qu’ils sont joués. Les trois scènes de la fin du film sont liées par cette composition dont la polyrythmie complexe résonne avec les enchevêtrements astucieux des différentes intrigues qu’on y trouve. »
Vincent Gillioz
Littérature
- Swiss Film Music. Anthology 1923–2012, p. 294. ISBN 978-3-03401-265-2
Liens externes
Source
- Film et musique: DVD EAN 7613059303157.